Le dernier jour a Done Khong, apres une visite aux tres ancien de la famille (90 et 94 ans) , nous avons avons pris notre dernier repas avec la famille belge et Viviane de Poitiers (nous connaissions deja Diane), puis les 3 aixois nous ont rejoins. Nous commencions a former une bande a Khong ( les laotien ne prononcent pas le G )entre les francais et les francophones . Et c'est donc avec regret que nous avons du quitter la bande de Khong. (et la je fais un petit clin d'oeil aux menbres de la bande qui se reconnaitront). Le lendemain nous avons donc repris notre route vers le sud. Il a d'abord fallu traverser le Mekong en bateau pour revenir sur l'autre rive, puis 30 km en voiture jusqu'a la frontiere laotienne. Puis entre le poste frontiere laotien qui se trouve perdu au beau milieu d'une foret ,et le poste frontiere du Cambodge, nous avons a nouveau changer de vehicule, entre ces deux frontieres il y avait plusieurs kilometres (5 ou 6)sur une mauvaise route nous avait on dit,en fait ce n'etait pas une mauvaise route mais une mauvaise piste. Une fois les formalites remplies pour rentrer au Cambodge, nous avons a nouveau change de vehicule pour aller jusqu'a Stangstreng, terme de la premiere etape du jour, soit une cinquantaine de km apres la frontiere. Encore a-t-il fallu reprendre un bateau pour arriver sur la bonne rive de cette ville. Jusque la nous etions accompagnes depuis Khong, par deux suisses. Quand j'ai dit a la jeune suisse "votre mari peut s'assoir a cote de vous " ellé m'a repondu "c'est pas mon mari c'est mon cousin". Et Lydia a cru bon de repondre "cést comme Shirley et Dino... (pour les fans)" et le suisse de retorquer "on a pas la tele" ... Tout cela dans la bonne humeur. Nous avons fait le repas de midi ensemble, puis nous sommes quittes , chacun vers son destin. Eux vers l'est, dans le Cambodge profond, et nous vers le sud. Ils ont bien tentes de nous emmener dans leur direction, vers Rattanakiri ( et on ne sait toujours pas pourquoi) afin de partager les frais, mais on avait dit "on va vers le sud " alors "on va vers le sud". L'apres midi nous avons repris un taxi pour Kratie distant de 142 km, que nous avons partager avec un americain du colorado et un australien qui voyageaient ensemble. Ils ressemblaient plus a des rugbymams qu'a des danseurs de l'opera, un de plus et la voiture explosait. Cela dit on en etait pas loin car une vingtaine de km plus loin, le moteur a commence a tousser et on est tombe en panne. Plus de peur que de mal puisqu'un 1/4 d.heure de repos et on a pu redemarer. Le chauffeur etait nerveux, et bien entendu Lydia l'etait aussi. Il faut dire que la route depuis la frontier jusqu'a Kratie n'est pas encore bitumee , elle est en cours de finition, donc le terrain nétait pas favorable a une bonne conduite. Finalement nous sommes arrives a destination, et par chance le taxi nous a depose devant un guesthouse, Lydia a visite la chambre, c'etait tres propre et impeccable, de plus il font restaurant et internet, pour 3 $ la nuit , que demander de plus. Quand nous repensons a l'etat de la route depuis la frontiere, nous nous disons que notre cycliste canado-tawainais qui a du l'emprunter egalement a du subir un calvaire. Síl a l' óccasion de lire cet article, nous lui demandons de nous donner de ses nouvelles ( e mail :
schmitt412@tiscali.fr). Il nous avait demande l'ádresse de notre blog. A bientot pour la suite.