Pokhara (800 m. d’altitude) et son lac, c' est la ville la plus proche de la chaine des Annapurna, ces deux éléments en font la principale attraction. C’est une cité de 190 000 habitants (recensés en 2005) . Le contraste avec Kathmandu est fort. Ici plus de verdure et moins de pollution. Nous n’avons pas retrouvé la ville grouillante et bruyante que nous avons quittée. Ici malgré la présence de nombreux voyageurs, et de trekeurs, c’est reposant. Et dès que nous sortons de la ville, de nombreuses balades , des petits villages s’offrent à nous. Même si nous ne pratiquons pas le trek, il est agréable d'y séjourner.
Le sommet de l’Annapurna culmine à 8 091 m., il a été conquis par Maurice Herzog en 1950, une dizaine d’autres sommets sont à + 7 000 m. Dont le Machhapuchhare (6 983 M.) qui n’est qu’à 25 km du nord de Pokhara. C’est une montagne sacrée, dédiée à Shiva, et interdite aux grimpeurs, donc nous n'irons pas.
Dès notre première balade nous avons croisé Dominique , quelqu'un dans nos ages, un adepte du Népal depuis trente ans. Il nous a donné des conseils sur les circuits à effectuer. On a fait un bout de chemin ensemble et il nous a fait rencontrer une famille népalaise qu’il aide à chacun de ses passages ici.
Puis nous sommes montés sur une colline sur laquelle est juché un temple japonais. On monte jusqu’à …1150 m., excusez du peu, mais avec le soleil et les brumes lointaines l’Annapurna ne veut pas se montrer. Néanmoins il faut y grimpé à 1150 , et la vue sur Pokhara et son lac vaut bien cet effort, même si cette brume gâche un peu le paysage.
d'abord franchir ce pont suspendu
nous croisons de jeunes étudiantes
ici également il faut prendre l'eau à la source, et il faut faire la queue
c'est un moment de convivialité
il est vraiment lourd ce broc, une fois plein
une dernière photo pour la route
Lydia montre sa photo
puis il faut ramener l'eau à la maison...(apparemment ce sont les femmes qui sont chargées de cette mission)
les aigrettes pique-boeufs
au dessus de nos têtes , un rapace chasse (un aigle ?)
un autre observe
puis ça commence à grimper
nous croisons des boeufs plus ou moins égarés
des singes qui vont de branches en branches
la tenue de camouflage...encore une fois c'est une femme qui est à la corvée
un peu de récupération
enfin on est arrivé
le retour sera plus rapide
j'ai failli l'adopter, mais sa mère bêlait tellement...
retour en ville, une pelle pour deux...système D